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ikkotrader Registered User 0    Wall Street a fini sans direction vendredi, tiraillée entre des chiffres du chômage aux Etats-Unis plus encourageants que prévu et une baisse du moral des consommateurs. Apple a encore plombé le Nasdaq. Wall Street a accéléré à la hausse à la toute dernière minute et cela fait toute la différence ! En effet, les 1,5 points d'indice supplémentaires gagné par le 'S&P' à 21H59 représentent la totalité des 0,12% gagnés sur l'ensemble de la semaine. Et oui, la semaine est redevenue positive sur le 'S&P' (+0,29% ce vendredi) grâce aux ultimes échanges pendant que retentissait la cloche de clôture, alors que le bilan hebdomadaire fut négatif durant 99,8% de la séance. Cet heureux dénouement semble avoir été orchestré de main de maître ! Le Dow Jones a gagné 0,62% -dont une quinzaine de points à 21H59- ce qui porte le gain hebdo à +1%: ceci compense les -1,3% perdus par le Nasdaq qui a subi l'impact de la chute de -9% d'Apple cette semaine (et ce titre 'pèse' à lui seul 20% de l'indice). Il est difficile de déterminer si les 'chiffres du jour' ont eu une réelle influence sur les cours. La lourde rechute de l'indice de confiance des consommateurs de 82 vers 74,5 (publié à 16H) a été vite oubliée au profit du recul quasi surnaturel du taux de chômage aux Etats Unis. Le procédé est répétitif mais on ne s'en lasse pas: le Departement du Travail américain annonce un chiffre supérieur aux estimations (ce qui réjouit tout le monde) mais révise symétriquement celui du mois précédent (on s'en fiche, c'est du passé). Une nouvelle application de ce tour de passe-passe nous a été administré ce vendredi avec 146.000 créations d'emplois en novembre (le mois de 'Thanksgiving' où la distribution recrute massivement), un chiffre supérieur de 20% au montant anticipé... mais celui d'octobre est révisé à la baisse de -20% à 138.000, de telle sorte que la moyenne reste proche de 140.000 cette année, ce qui est bien insuffisant pour absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail et surtout résorber le nombre de chômeurs de longue durée issus de la crise. Mais, miracle, voilà que le taux de chômage recule de -0,2% à 7,7% grâce à une baisse plus forte que prévu de la 'population active'. Les USA voient leur population croître de 2% par an mais le nombre d'américains en capacité de travailler aurait chuté des -5% en 2012... que voilà un bien étrange pays ou des millions de travailleurs potentiels disparaissent sans laisser de trace ! Faut-il vraiment croire que le marché 'paye' cette bonne nouvelle, bien que chacun ressente que c'est complètement artificiel et bien éloigné de la 'réalité de terrain' où les chômeurs de longue durée et les 'découragés' sont de plus en plus nombreux. Wall Street entamera lundi la dernière semaine d'habillage des bilans avec la journée des '4 sorcières' en ligne de mire: si une parfaite maîtrise des algorithme permet de maintenir les indices US à proximité des niveaux affichés ce vendredi, le 'S&P' affichera environ +13%, le Nasdaq Composite +14,5% et le Nasdaq-100 +16%... mais Apple (-2,6% à 533$) est en train de gâcher un peu la fête. Mis à part Apple, le Nasdaq a été plombé par Avago -2,5%, Microsoft -1,1%, Google -1%. Quelques belles hausses se sont néanmoins matérialisées sur Sears +6,7%, Citrix +3,2%, Broadcom +2,6%, Viacom +2%, Altera +1,4%. Il ne faut pas s’attendre à un rebond spectaculaire de l’économie américaine, estime ce gérant résolument orienté sur le long terme. Mais les gisement de croissance durable ne manquent pas. Evan Bauman est Managing Director de ClearBridge, une boutique de gestion affiliée au gestionnaire LeggMason. Diplômé de la Duke University, il est co-gérant du fonds Legg Mason ClearBridge US Aggressive Growth depuis 1996. LE FIGARO BOURSE - Votre fonds investit principalement dans des sociétés amérciaines de petite et moyenne capitalisation bénéficiant d’avancées technologiques. Est-ce la recette qui vous a permis de battre 97% de vos concurrents à l’échelle des 15 dernières années? Evan Bauman - Nous sommes avant tout des investisseurs de très long terme. Nous plaçons les capitaux confiés dans des entreprises bénéficiant véritablement d’une croissance durable, en bonne santé financière, en étant très exigeants sur la valorisation. Du coup nous ne retenons qu’une cinquantaine de valeurs, c’est un portefeuille très concentré ; les dix premières lignes représentent même 50% de l’actif. Le fonds, créé en 1983, connaît un faible taux de rotation (moins de 10% annuel) et nous détenons des titres parfois plus de dix ans. Nous ne nous contentons pas d’être passagèrement détenteurs des actions, nous nous attachons à être co-propriétaire des entreprises. Est-ce une façon de ne pas rogner la performance en multipliant les transactions? Notre objectif c’est de détenir de belles sociétés et de tirer profit des phases baissières pour se renforcer. Donc nous passons quand même des ordres! Cette année par exemple, nous avons investi près de 1 milliard de dollars supplémentaires lors de différentes corrections. Nous passons aussi énormément de temps à rencontrer les équipes, car nous tenons à très bien connaître très bien les entreprises dans lesquelles nous sommes investis: sans être «activistes» nous sommes certainement des investisseurs actifs. Nous étudions aussi en permanence de nouvelles pistes pour déployer nos fonds. Nous y travaillons d’autant plus aujourd’hui que nous disposons de 15% de liquidités, à la suite de diverses opérations en capital, alors qu’en général nous sommes investis à 95%. Les firmes biotechnologiques représentent un tiers de l’actif. Pourquoi? Tout simplement parce qu’on trouve dans ce secteur maintes entreprises répondant pleinement à nos exigences: les entreprises biotechnologies qui s’adressent à des marchés importants non traités avec des médicaments vraiment efficaces sont assurées de maîtriser leur marché pendant de nombreuses années. Par exemple, nous étions jusqu’au rachat par Sanofi le premier actionnaire de Genzyme, un titre que nous détenions depuis vingt ans. Les biotechs que nous détenons font d’ailleurs souvent l’objet d’OPA: déjà quatre depuis le début de l’année, dont celle de Novartis sur Chiron ou de GSK sur Human Genome Sciences dont nous étions aussi l’un des principaux actionnaires. La première pondération du fonds reste Biogen Idec, les produits actuels de cette société sont des blockbusters et elle a développe de nouveaux médicaments qui pourraient aussi générer des milliards de dollars de ventes. Amgen figure aussi parmi nos principales lignes. En dehors de la biotech, quels sont les principaux secteurs représentés? Nous apprécions aussi certains segments de la technologie comme Cree dans l’éclairage LED, Sandisk, ou encore Comcast dans le secteur à fort pricing power de la télévision et des médias par câble. Le secteur de l’énergie nous offre aussi des possibilités attrayantes comme Anadarko Petroleum, un acteur positionné à la fois dans le gaz de schiste aux USA et sur des actifs pétroliers plus conventionnels à l’international. Comment envisagez vous l’évolution des prochains trimestres pour Wall Street? Les marchés s’apprêtent à boucler un exercice décent, en dépit des formidables incertitudes comme les élections ou le fiscal cliff… La Fed va continuer à maintenir les taux à bas niveau jusqu’à ce que l’économie américaine revienne à un taux proche de ses capacités mais nous sommes convaincus que cela prendra du temps ; il ne faut pas s’attendre à un décollage du taux de croissance dès l’an prochain. Donc, les actions défensives -celles des entreprises capables de faire croître leurs résultats dans une conjoncture médiocre- resteront un bon choix. Les dernières statistiques sur l’économie américaine n’autorisent-elles pas davantage d’optimisme? Rester défensif sera payant. La croissance sera là mais elle restera faible. La situation a heureusement cessé de se dégrader, les consommateurs rebâtissent une épargne ce qui est positif à long terme, mais du coup il ne faut pas s’attendre à un rush de la consommation… En fait l’ingrédient manquant à un redressement plus marqué c’est le temps: il faudra du temps pour effacer les conséquences de la crise financière qui a été l’une des plus graves que le monde ait connu. Mais comme nous visons le long terme, cela s’inscrit dans notre gestion. Wall Street a fini sans direction vendredi, tiraillée entre des chiffres du chômage aux Etats-Unis plus encourageants que prévu et une baisse du moral des consommateurs: le Dow Jones a avancé de 0,62% mais le Nasdaq a lâché 0,38%, plombé par Apple. Selon les résultats définitifs à la clôture, le Dow Jones Industrial Average s’est apprécié de 81,09 points à 13.155,13 points, tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, a reculé de 11,23 points à 2.978,04 points. L’indice élargi Standard and Poor’s 500 s’est apprécié de 0,29% (+0,29 point) à 1.418,07 points. Les indices qui avaient ouvert en hausse, ont légèrement «fléchi après la publication de l’indice de confiance des consommateurs américains» de décembre qui a indiqué une nette baisse du moral des ménages, ont relevé les experts du site d’analyse financière Briefing.com. Cependant, l’annonce surprise d’une chute du taux de chômage à 7,7% aux Etats-Unis en novembre, à son plus bas niveau depuis décembre 2008, et d’une hausse de 146.000 créations d’emplois, bien plus forte qu’attendu, a contrebalancé l’humeur baissière de Wall Street, ont noté les analystes de Wells Fargo. «Ces chiffres constituent une bonne nouvelle», a estimé Hugh Johnson, de Hugh Johnson Advisors. Dus notamment à un recul de la population active et à une révision en baisse des chiffres de septembre et octobre, ces chiffres ont toutefois été accueillis avec prudence par de nombreux courtiers, a estimé Peter Cardillo, de Rockwell Global Capital.«Quand l’on dissèque ces chiffre de près, ils ne sont pas si extraordinaires», a souligné M. Cardillo. Les hésitations du marché ont aussi été liées à un regain de pessimisme au sujet des discussions budgétaires aux Etats-Unis, selon Michael James, de Wedbush Securities. Alors que le marché pensait commencer à voir le bout du tunnel au sujet de ces négociations, «des commentaires peu encourageants du (chef de file républicain à la chambre des Représentants) John Boehner dans la matinée» qui a indiqué que peu de progrès avaient été accomplis, ont déçu le marché, selon lui. Heurter le «mur budgétaire» risquerait en effet de replonger l’économie américaine en récession. D’autre part, la chute du titre du géant technologique Apple (-2,56% à 533,25 dollars) a fortement pesé sur l’indice Nasdaq, échouant à regagner du terrain après avoir subi mercredi sa plus forte chute sur une séance depuis 2008. «Apple est le titre le plus important dans le domaine technologique, donc tout mouvement de sa part donne le ton au secteur», a précisé M. James. Le marché obligataire a reculé. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a avancé à 1,627% contre 1,581%, et celui à 30 ans à 2,814% contre 2,765% la veille. Plutôt que de placer son argent à moins de 2 % sur les emprunts d’État français, mieux vaut diversifier une partie de ses placements en s’intéressant aux obligations émergentes. La chute des rendements sur les emprunts à long terme des pays occidentaux comme la France (1,98 % sur les obligations d’État à 10 ans), l’Allemagne (1,4 %) ou les États-Unis (1,6 %) incitent les investisseurs à s’intéresser à la dette des pays émergents qui se révèle beaucoup plus attractive que la nôtre, moins volatile et surtout moins risquée. Une étude récente de Pictet Asset Management montre en effet que les obligations turques, indiennes, brésiliennes, russes ou mexicaines constituent un excellent instrument de diversification des portefeuilles, sans exposer les porteurs à des risques excessifs. Ces pays sont moins endettés que nous, certains d’entre eux affichent des excédents budgétaires, ils connaissent des taux de croissance nettement plus élevés et la liquidité sur les titres concernés s’est nettement développée au cours de ces dernières années. Il existe deux catégories d’obligations. Celles qui sont libellées en dollars sont le plus recherchées, elles permettent des performances de l’ordre 9 % par an en moyenne depuis 10 ans. Quarante-huit pays émergents émettent aujourd’hui régulièrement en dollars. Les obligations libellées en monnaies locales sont encore plus attrayantes avec un rendement annuel de 13 % en moyenne sur dix ans. Contrairement à certaines idées répandues, la qualité des émetteurs en monnaie locale est souvent meilleure que ceux qui émettent en dollars. Seize pays émettent aujourd’hui régulièrement sur le marché international en monnaie locale et leur notation moyenne auprès de l’agence Standard & Poor’s correspond à la note A-, contre une moyenne de BBB+ pour les 48 nations émettant en dollars. Le sentiment des experts du Figaro Bourse: les obligations émergentes peuvent constituer un bon moyen diversifier des placements. Elles apportent un bon rendement et présentent l’avantage d’ouvrir son portefeuille à des zones économiques en forte croissance. Les fonds Pictet-Emerging Local Currency Debt-I USD (code isin LU0255798018), LFP Obligations Emergentes P (code isin FR0010225037) ou Amundi Oblig Emergents I (code isin FR0010155077) sont de bons véhicules d’investissement sur ce secteur. Horizon d’investissement: moyen long terme. Or 1703,80$ +0,22% Argent 33,05$ +0,21% Platine 1604,00$ +0,82% Pétrole (New York) 86,41$ -0,13% Pétrole (Londres) 106,91$ -0,35% Profil d’investisseurs: actifs Les Français sont inquiets sur leur pouvoir d’achat et l’évolution de leurs placements. L’or apparaît ainsi comme un placement refuge en pleine tourmente. En matière de placement, la peur est mauvaise conseillère. Un sondage réalisé par l’Ifop pour le compte de la société Aucoffre.com, spécialisée dans l’achat et la conservation de l’or, montre que si l’immobilier, les livrets et l’assurance-vie restent les placements préférés des Français, l’or arrive en quatrième position. Il est en effet cité avant les actions et les obligations. À la question, «quels placements préférez-vous pour conserver vos économies», 35 % des personnes interrogées répondent l’immobilier. Les liquidités (notamment les Livrets) recueillent 23 % des suffrages et l’assurance-vie 18 %. Le métal jaune arrive juste derrière avec 13 % de réponses positives. Ce pourcentage est très élevé, il marginalise totalement les actions et les obligations sur ne recueillent que 2 % des réponses chacun. Cet intérêt pour l’or s’explique par ses caractéristiques jugées rassurantes et peu risquées. Alors que les actions et les obligations sont jugées hasardeuses pour respectivement 91 et 65 % des personnes interrogées, seulement 30 % des sondés reconnaissent certains risques au métal précieux, niveau comparable dans l’assurance-vie (29 %) et l’immobilier (28 %). EUR/USD 1,2925$ -0,27% EUR/GBP 0,8061£ -0,18% USD/GBP 0,6238£ +0,10% Contrairement aux idées reçues, les plus gros adeptes de l’or se recrutent parmi les ménages aux revenus les plus modestes disposant de moins de 3.000 euros de revenus par mois. Les plus gros pourcentages ne concernent pas les retraités, mais la catégorie des actifs âgés de 50 à 64 ans. Le sentiment des experts du Figaro: Les Français sont inquiets face à l’avenir et leurs habitudes en matière d’épargne ont été ébranlées depuis la chute de la Bourse depuis le début des années 2000. L’or qui ne cesse de monter depuis dix ans apparaît ainsi comme un refuge au même titre la pierre. Mais la peur est mauvaise conseillère. L’or ne doit pas occuper une part supérieure à 10 % de vos placements. Rappelons qu’entre 1980 et 2000 sa valeur avait fondu en termes nominaux, soit une perte réelle encore plus importante compte tenu de l’inflation. La meilleure des protections contre la volatilité des marchés reste la diversification de ses placements, sans omettre les actions et les obligations, notamment d’entreprises. Horizon d’investissement: moyen terme. Profil d’investisseurs: prudents.   
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